Eloigner les pigeons, goëlands, étourneaux, corbeaux, moineaux…
Depuis une décennie, les oiseaux n’ont jamais fait autant parler d’eux. La question de leur devenir préoccupe notre société et l’équilibre entre utilité et nuisance, protection et destruction s’avère fragile.
Si la préservation de la biodiversité est un des objectifs principaux du XXIème siècle, l’équilibre s’avère difficile à trouver. Face aux modifications de notre planète (réchauffement climatique, pollution, extension des zones urbaines …), les populations aviaires changent.
En profitant de notre société de consommation, certaines espèces ont connues un développement très rapide,ce qui les placent actuellement au centre des critiques car trop nuisibles. Eloigner les pigeons, goëlands, étourneaux, corbeaux, moineaux… est devenue une vraie problématique, nous avons les solutions.
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Un des aspects notoire de l’étourneau sansonnet est qu’il vit près des humains et qu’il se déplace toujours en grand groupe. Bien qu’utile pour se protéger des prédateurs, cette technique provoque de nombreux dégâts…
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sur notre environnement . En se déplaçant sous forme de véritables nuées, l’étourneau engendre des nuisances importantes à cause du bruit et des fientes dégagées. Ces derniers dorment dans des arbres ou sur des édifices, qu’ils abîment au vu de leur nombre trop important. Leurs fientes endommagent les voitures et les bâtiments avec l’acide qu’elles contiennent. Les cultures et les silos agricoles se font dévaster ainsi que les rations pour les animaux d’élevage.
Le problème le plus fréquent concerne les nids d’étourneaux dans les immeubles. Etant omnivore, ces dernier s’adaptent à tout type d’alimentation ce qui rend la vie citadine très attractive. En étant proche de la population humaine (surtout pendant la saison hivernale), un risque sanitaire peut être couru. La suppression des nids reste donc primordiale pour lutter contre ces nuisances.
La présence de mouettes et goélands est de plus en plus décriée le long du littoral. S’ils ont naturellement leur place dans notre environnement, les nuisances qu’ils engendrent deviennent de plus en plus insuportables pour les habitants.
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Dès la période printanière, les désagréments causés par ces oiseaux reviennent (cris stridents, invasion des toitures, gouttières bouchées, fientes…). Les villes touristiques apposent de plus en plus d’affiches qui déconseillent de les nourrir afin d’éviter leur sédentarisation dans les villes. En Agriculture également, ces nuisibles sont un fléau. En s’attaquant aux cultures, ils sont à l’origine de pertes de rendements importantes. Pour les centres d’enfouissement, même problématique, les goélands n’hésitent plus à fouiller les ordures pour se nourrir ce qui est propice au développement de maladies.
Si le goéland est une espèce difficile à controler au vu de son statut « d’espèce protégée », il n’en est pas moins un nuisible qui doit être maitrisé.
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attire ces corvidés ce qui peut amener des centaines d’oiseaux à stationner autour des centres de traitement de déchets (où ils voisineront avec des mouettes/goélands). Leurs passages des usines vers les villes dispersent alors les détritus en question et crée des problèmes d’hygiène importants.
La nuit, les oiseaux se regroupent par sécurité, souvent par centaines, dans des dortoirs situés dans de grands arbres. La présence de grandes futaies telles que les peupleraies favorise donc leur installation où ils se reproduisent, faisant ainsi subir au voisinage des nuisances sonores épouvantables.
Dans certaines régions agricoles, les corbeaux ravagent également méthodiquement les semis de printemps tels que le tournesol, le maïs et les pois, mais aussi certaines cultures à maturité comme les céréales ou certaines parcelles de vigne et d’arbres fruitiers en bordure de bois. Ces attaquent peuvent ainsi conduire à des resemis coûteux, qui prendront également le risque d’être à nouveau attaqués.
Oiseaux bien connu du grand public, les pigeons sont devenus un véritable fléau ces dernières années. Suite à leur prolifération (une femelle pond plusieurs fois entre avril et septembre, généralement 2 œufs à chaque fois)…
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les dégâts en ville mais aussi en campagne, ont explosés. Mauvaises odeurs, bruits et saletés sont les conséquences de ces volatiles devenus trop nombreux aujourd’hui !. Les fientes de pigeons fragilisent aussi bien l’intérieur que l’extérieur des bâtiments. Avec l’humidité, elles se transforment en petites plantes dont les racines s’introduisent peu à peu dans les murs ce qui créer des fissures.
Par leurs déjections, les pigeons sont également vecteur de pathologies virales et bactériennes pour les humains et les animaux domestiques (grippes, arboviroses, asthme, mycobactérioses, salmonelloses,…). La montée du risque pandémique lié au virus H5N1 de la grippe aviaire de 2003 à 2006 a justifié dans de nombreux pays une interdiction de les nourrir.
Difficile à délocaliser, ces volatiles ne ratent pas une occasion de venir se nicher dans tous les endroits pouvant leur offrir de la nourriture. En campagne, par exemple, l’arrivée en masse des pigeons est une véritable problématique, surtout pour les cultures oléagineuses/protéagineuses (maïs, colza, tournesol…). Avec des possibilités de perte de rendement allant de 25 à 80%, cette lutte devient un enjeu majeur pour la pérennité des exploitations agricoles.
Connu pour son martèlement incéssant, le pic vert est un oiseau qui peut causer des dégâts considérables si on le laisse agir! Sa spécialité… les trous et dans de nombreux endroits (toitures,volets, troncs d’arbres, poteaux électriques etc.).
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Cet oiseau au beau plumage et bec puissant, fait l’objet de vives critiques, notamment en automne et en hiver car entre ces deux saisons, il nidifie..
Le moineau profite des activités de l’homme, il ne migre pas, on peut le retrouver partout ou la nourriture est disponible. Très prolifique, cette espèce est souvent responsable de nombreux dommages en ville mais aussi en campagne.
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Avec sa petite taille, le moineau réussit à s’introduire partout (sous les tuiles, dans les arbres, dans les bâtiments agricoles…), il est important de limiter cette nidification surtout au mois de Mai pour éviter leur invasion.
Pour les agriculteurs, cet oiseau est un véritable fléau! N’hésitant pas à piller leur champs de céréales (leur nourriture préférée) ou à voler dans les silos, ce dernier est à l’origine de perte de rendements très importantes.
En zone urbaine, leur trop grande présence anime aussi souvent les débats! Détériorations des bâtiments, salissures des marchandises dans les entrepôts, nuissances sonores …, la liste est longue, cette espèce doit donc être contrôlée.
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Pour les éloigner des cultures agricoles ou encore des marinas, des jardins, des parcs de loirsirs etc., il est souvent recommandé d’utiliser plusieurs appareils pour augmenter l’efficacité de l’effarouchement.
Les hirondelles vivent au plus près de nous ce qui ne permet pas toujours une cohabitation harmonieuse. Si l’hirondelle est un petit oiseau protégé,
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son mode de nidification crée tout de même des conditions d’hygiène parfois très précaires. Entre les déjections ou la vermine qu’elle transporte dans son plumage, les nuisances sont réelles.
S’il est sévèrement interdit de toucher aux nids durant la période de nidification, l’intervention peut tout de même se faire lors de la migration.
AVICONTROLE vous propose justement différentes techniques pour inciter les hirondelles à aller ailleurs que sur vos yeux.